vendredi 7 février 2014

Thor: The Dark World

de Alan Taylor (après vérif, il apparaît qu'il a réalisé plein d'épisodes dans plein de séries assez chouettes, de Oz à Games of Throne) avec les mêmes que dans le un et des nouveaux.

Les méchants thordus de services, ce coup-ci des Dark Elves à l'oeil thorve, se réveillent de leur thorpeur millénaire car la fiancée de Tor a mis la main là où il ne vaut mieux pas mettre les pieds. Entre eux (les Dark Elves hein, pas les pieds de Nathalie Portman) et Asgard, le thorchon brûle depuis l'aube des temps. Heureusement que Tor est là pour foutre une thorgnole à tous ces gros vilains.

Le premier opus des aventures du héros au thorse bombé m'avait laissé aussi indifférent qu'une thortilla froide. Faut dire que le scénar était plutôt mal thorché  - on ne se sentait pas vraiment concerné par le sort réservé aux différents protagonistes - et la réalisation était thorpillée par un design d'Asgard qui piquait les yeux. 

Ici ça va mieux pour diverses raisons. Même si la bouse visuelle qu'est Asgard est toujours là, le scénar un peu bateau reste compréhensible. Loki est vraiment excellent... Et puis... On aurait dû avoir la puce à l'oreille assez vite quand on voit Stellan Skarsgård tout nu à Stonehenge... Je ne sais pas ce qu'ils ont pris - du népalais thorsadé surement - mais il y a un second degré très réjouissant surtout dans la deuxième partie du flim (Tor qui accroche son marteau au portemanteau... j'avoue, j'ai ri). Du coup, j'ai (presque) passé un bon moment alors que le premier opus avait été une thorture sans nom.

Donc voilà, ça ne vole pas bien haut, mais quitte à voir un Tor, autant voir celui ci.

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