vendredi 7 septembre 2012

Die Hard 2: Die Harder

De Renny « Le zinzin suédois » Harlin avec Bruce Willis, Franco Nero, William Sadler…

Un méchant militaire et sa troupe tournent casaque et, la veille de Noël, prennent en otage tout un aéroport, pour permettre l’évasion d’un méchant dictateur… de je ne sais plus où … Un truc genre Val Verde peut-être bien… Comme dans Commando, un autre chef-d’œuvre. Pas de bol, John est aussi à l’aéroport et il attend sa femme. Putain, les gars, z’avez pas vu le 1 ? Monumentale erreur !

- Bon, le « deux » sort et on est dans la merde. Ces cons de ricains nous balancent « Die Harder » dans le titre et y a même plus une putain de tour en verre. Vu qu’on peut pas appeler ça « Encore plus Die Hard » ou « Plus Die Hard que Die Hard »… Qu’est-ce qu’on fait ?
- On pourrait appeler ça « Die Hard 2 » ?
- Dis, Coco, il est écrit quoi sur la porte là ? Oui en effet il est indiqué «sfitaérC sed uaeruB». Ouais, on parle de nous, c’est pour ça qu’il y a une majuscule à « sfitaérc ». Alors faudrait voir à l’être un peu…
- Z’êtes des nases, tous, moi j’ai une idée : « 58 minutes pour vivre ». Ha, z’êtes soufflés là !?!
- Heu, Chef, ça ne veut rien dire ce titre. A la limite « 58 minutes à vivre » ok, mais « pour vivre »…
- Ecoute Coco, t’y connais rien. Ce titre, c’est du béton armé.

Le flim est à l’image de son titre français : c’est nawak. Très bien fait, très plaisant, avec juste ce qu’il faut de blagues référentielles avec le 1. Mais, c’est totalement n’importe quoi. Faut dire que Harlin adore les trucs énooooooooooooormes, mais qu’il est doué. On verse donc dans le Tex Avery… mais avec une pincée de gore. Sacré Renny.

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